Prévus dans un projet de loi présenté ce mercredi en Conseil des ministres, ces algorithmes, classés secret défense, inquiètent plusieurs associations de défense des libertés publiques qui dénoncent une surveillance de masse.
Prévus dans un projet de loi présenté ce mercredi en Conseil des ministres, ces algorithmes, classés secret défense, inquiètent plusieurs associations de défense des libertés publiques qui dénoncent une surveillance de masse.