C’est un métier à la peine, celui des vignerons dans le Beaujolais. D’ici dix ans, la moitié d’entre eux aura pris sa retraite. Problème, il n’y a pas assez de jeunes pour reprendre le flambeau.
C’est un métier à la peine, celui des vignerons dans le Beaujolais. D’ici dix ans, la moitié d’entre eux aura pris sa retraite. Problème, il n’y a pas assez de jeunes pour reprendre le flambeau.