Les images de vidéosurveillance étaient un élément de preuve qui aurait pu faire avancer les enquêtes en cours après les violences qui ont eu lieu lors de la finale de la Ligue des champions du 28 mai. Plusieurs sources de vidéosurveillance – celles du Stade de France et de la RATP – ont été automatiquement supprimées, faute d’avoir été demandées dans les temps par la police et la justice.
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