De nouvelles expertises scientifiques à partir de traces ADN vieilles de 36 ans viennent d’être ordonnées par la justice dans l’affaire Grégory. Elles pourraient notamment permettre l’élaboration d’un portrait-robot génétique de l’assassin.
De nouvelles expertises scientifiques à partir de traces ADN vieilles de 36 ans viennent d’être ordonnées par la justice dans l’affaire Grégory. Elles pourraient notamment permettre l’élaboration d’un portrait-robot génétique de l’assassin.