Affaire Gregory : l’espoir renait grace a de nouvelles methodes d’enquete

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Les enqueteurs vont utiliser l’ADN parentele mais aussi tenter d’etablir un portrait-robot genetique pour reussir a elucider la mort du jeune Gregory Villemin.

France 3

C’est un nouveau rebondissement dans une affaire qui intrigue la France depuis de tres nombreuses annees. Mercredi 27 janvier, la cour d’appel de Dijon (Cote-d’Or) a ordonne en premier lieu des analyses ADN concernant 37 personnes dans l’enquete sur la mort de Gregory Villemin. Cela concerne des connaissances de la famille. En plus de ces elements, les enqueteurs esperent pouvoir etablir un portrait-robot genetique en se basant sur les neuf traces genetiques retrouvees sur des lettres du corbeau, une seringue ou meme les vetements de l’enfant.

L’ADN de parentele va egalement etre utilisee par les enqueteurs. Cela consiste a rechercher l’ADN de la famille d’un criminel parmi les informations de la base genetique de la justice. Une technique qui a fait ses preuves lors de l’enquete sur la mort d’Elodie Kulik, tuee en 2002. Dix ans apres son crime, un des meurtriers avait ete identifie.

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Christine et Jean-Marie Villemin, les parents du petit Grégory, le 23 novembre 1984 à Epinal (Vosges).
Christine et Jean-Marie Villemin, les parents du petit Gregory, le 23 novembre 1984 a Epinal (Vosges). (ERIC FEFERBERG / AFP)