Pour le SNES-FSU, Emmanuel Macron aurait dû reconnaître “la gravité de la crise de recrutement” et s’engager “sur les rémunérations avec des augmentations sans contreparties”.
Pour le SNES-FSU, Emmanuel Macron aurait dû reconnaître “la gravité de la crise de recrutement” et s’engager “sur les rémunérations avec des augmentations sans contreparties”.