Lors du procès, Karim M., dit “Bylka”, avait contesté toute corruption et trafic, invoquant des méthodes policières visant à obtenir des informations, dont sa hiérarchie avait connaissance.
Lors du procès, Karim M., dit “Bylka”, avait contesté toute corruption et trafic, invoquant des méthodes policières visant à obtenir des informations, dont sa hiérarchie avait connaissance.