C’est dans cet hôpital militaire marseillais, qui n’ouvre quasiment jamais ses portes aux médias, qu’atterrissent de nombreuses victimes des règlements de comptes. Il a déjà pris en charge sept blessés par balle depuis le début de l’année.
C’est dans cet hôpital militaire marseillais, qui n’ouvre quasiment jamais ses portes aux médias, qu’atterrissent de nombreuses victimes des règlements de comptes. Il a déjà pris en charge sept blessés par balle depuis le début de l’année.