Le ministère se dit “particulièrement interpellé” par le cas d’une ex-responsable de la communication, licenciée pour faute grave à la mi-mars 2024, un mois et demi après un viol qu’elle affirme avoir subi pendant le festival.
Le ministère se dit “particulièrement interpellé” par le cas d’une ex-responsable de la communication, licenciée pour faute grave à la mi-mars 2024, un mois et demi après un viol qu’elle affirme avoir subi pendant le festival.