Âgée de 16 ans au moment du génocide, Jeanne a été rapatriée dans une famille d’accueil dans le Sud-Ouest de la France. Aujourd’hui, elle est infirmière et présidente de l’association Diaspora rwandaise de Toulouse.
Âgée de 16 ans au moment du génocide, Jeanne a été rapatriée dans une famille d’accueil dans le Sud-Ouest de la France. Aujourd’hui, elle est infirmière et présidente de l’association Diaspora rwandaise de Toulouse.