Alors que les Mahorais ont tout perdu à cause du cyclone Chido, ils sont maintenant confrontés à des actes de pillages et de vandalisme. À Mamoudzou, par exemple, des écoles ayant accueilli des sinistrés se font voler leur matériel.
Alors que les Mahorais ont tout perdu à cause du cyclone Chido, ils sont maintenant confrontés à des actes de pillages et de vandalisme. À Mamoudzou, par exemple, des écoles ayant accueilli des sinistrés se font voler leur matériel.