Pékin va tester, en septembre, le premier réacteur nucléaire à sels fondus et au thorium. Une nouvelle technologie présentée comme plus “propre” et plus “sûre”, qui intéresse aussi la Chine pour des raisons géostratégiques.
Pékin va tester, en septembre, le premier réacteur nucléaire à sels fondus et au thorium. Une nouvelle technologie présentée comme plus “propre” et plus “sûre”, qui intéresse aussi la Chine pour des raisons géostratégiques.