Les polices de plusieurs pays d’Europe, des Etats-Unis, d’Australie et de Nouvelle-Zélande contrôlaient l’application baptisée AN0M, dont se servaient des malfaiteurs du monde entier pour communiquer de façon cryptée.
Les polices de plusieurs pays d’Europe, des Etats-Unis, d’Australie et de Nouvelle-Zélande contrôlaient l’application baptisée AN0M, dont se servaient des malfaiteurs du monde entier pour communiquer de façon cryptée.