La stigmatisation de l’homosexualité et la difficulté de faire souvent partie de la même communauté que son agresseur peuvent expliquer que ce #MeTooGay éclate plus tardivement, analyse le sociologue Sébastien Chauvin.
La stigmatisation de l’homosexualité et la difficulté de faire souvent partie de la même communauté que son agresseur peuvent expliquer que ce #MeTooGay éclate plus tardivement, analyse le sociologue Sébastien Chauvin.