Le Premier secrétaire du PS a refusé catégoriquement le principe d’une primaire ouverte et citoyenne, pour éviter “cet épanchement permanent où chacun pense que son heure de gloire est arrivée”.
Le Premier secrétaire du PS a refusé catégoriquement le principe d’une primaire ouverte et citoyenne, pour éviter “cet épanchement permanent où chacun pense que son heure de gloire est arrivée”.