Alors que les autorités réclament la fin de l’habitat insalubre et promettent de reconstruire l’île autrement, de nombreux Mahorais ont déjà rebâti leurs “bangas”, faute d’autres solutions viables pour loger leur famille.
Alors que les autorités réclament la fin de l’habitat insalubre et promettent de reconstruire l’île autrement, de nombreux Mahorais ont déjà rebâti leurs “bangas”, faute d’autres solutions viables pour loger leur famille.