Le 30 mars, à seulement trois jours de son 18e anniversaire, le jeune homme a mis fin à ses jours. Dans une lettre enregistrée sur son téléphone, il confiait avoir “peur de croiser” l’homme qui l’avait agressé sexuellement.
“Savoir nous aurait permis de mieux le préparer”, témoigne la famille de Yanis, un adolescent qui s’est suicidé après la libération de son agresseur sexuel
