La facture de la crise sanitaire atteindrait 158 milliards d’euros, de quoi faire grimper la dette à 115,7% du PIB. L’État doit donc emprunter, avec un avantage : les taux sont négatifs.
La facture de la crise sanitaire atteindrait 158 milliards d’euros, de quoi faire grimper la dette à 115,7% du PIB. L’État doit donc emprunter, avec un avantage : les taux sont négatifs.