Pour justifier cette prolongation, la préfecture de police de Paris invoque “les affrontements avec les forces de l’ordre et les violences urbaines” qui se sont déroulés entre la fin du mois de juin et le début du mois de juillet.
Pour justifier cette prolongation, la préfecture de police de Paris invoque “les affrontements avec les forces de l’ordre et les violences urbaines” qui se sont déroulés entre la fin du mois de juin et le début du mois de juillet.