Le parquet avait demandé le huis clos en rappelant que des vidéos des faits seraient “nécessairement visionnées” et que “non seulement la publicité des débats serait dangereuse mais [elle] porterait aussi atteinte à la dignité des personnes”.
Le parquet avait demandé le huis clos en rappelant que des vidéos des faits seraient “nécessairement visionnées” et que “non seulement la publicité des débats serait dangereuse mais [elle] porterait aussi atteinte à la dignité des personnes”.