Une action d’un collectif d’ONG met en demeure l’État d’interdire sous quatre mois les contrôles au faciès qui seraient menés par les forces de l’ordre. Les syndicats de police nient l’existence même d’une discrimination.
Une action d’un collectif d’ONG met en demeure l’État d’interdire sous quatre mois les contrôles au faciès qui seraient menés par les forces de l’ordre. Les syndicats de police nient l’existence même d’une discrimination.