Après la Guadeloupe, c’est en Martinique que la violence a pris une forme inédite dans la nuit du jeudi 25 au vendredi 26 novembre. Malgré l’instauration du couvre-feu, des tirs ont été dirigés vers des policiers, mais aussi des journalistes. Au-delà des réticences face au vaccin, c’est une crise sociale profonde qui est le socle de cette escalade de violences.
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