Le ministre des Comptes publics réclamait, la semaine dernière, la fin du “quoi qu’il en coûte” en 2021. Pour Aurore Bergé, il doit au contraire continuer “notamment pour les secteurs qui sont le plus durement touchés”.
Le ministre des Comptes publics réclamait, la semaine dernière, la fin du “quoi qu’il en coûte” en 2021. Pour Aurore Bergé, il doit au contraire continuer “notamment pour les secteurs qui sont le plus durement touchés”.